Nous avions une demi-journée à notre disposition. Je n'avais réservé le train de retour
pour Paris qu'à 16h 30, en me disant que peut-être, nous pourrions saluer, s'ils ne sont pas trop fatigués, Jean Starobinski et son épouse Jacqueline. J'ai osé téléphoner à Jean. Il m'a répondu avec une voix un peu plus grave que d'habitude (c'est du moins l'impression que j'ai eue), mais toujours aussi cristalline qui témoignait d'une bonne santé. Nous avons eu la joie de déjeuner ensemble en compagnie d'un de ses fils Michel Starobinski. Nous avons beaucoup parlé de la musique. Ce fut un enchantement.
« Jean-Jacques Rousseau : la partie de campagne et le pacte social » Je lis et relis cet article qui est d'ailleurs repris dans Accuser et séduire, essais sur Jean-Jacques Rousseau (Gallimard, 2012).
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